Ce bouquin ci (si l'annonce demeure sur ce livre, car l'URL semble faire référence à un autre).
Le vrai nom de l'auteur est Knud Meister, sous lequel il a écrit les livres avec Jan - ceux avec Teena (en traduction frç: Tina) sont sous le pseudonyme. Probablement pour que le lectorat de ses livres "pour garçons" ne soit pas découragé par le fait qu'il a également écrit des livres "pour filles".
De toute façon, le début était un peu gâché par le gauchisme de Claus Clausen (père de Tina, peintre, mari d'une chimiste). Pire, quand les choses s'embrouillent je découvre que Teena rêve d'être médecin/psychiatre.
J'avoue qu'elle est charmante. J'avoue que certain personnel, même une médecin, au début d'une carrière psychiatrique, peuvent l'être aussi. Grace à ces charmantes personnes au début d'une carrière dans la psychiatrie, j'ai pu intéragir normalement avec quelqu'un les fois que j'ai été obligé contre mon gré et contre toute équité d'y aller comme patient, sans aucun besoin.
J'ajoute, dans ce livre ci, Tina n'est pas encore en train de faire la psychiatre professionnellement, elle le fait spontanément comme amie plutôt que professionnellement. Quand même ça, elle est en train de faire une grave bavure, elle propose un duel (en réalité feint) comme moyen de faire un psychodrame pour qu'une fille indécise se décide entre les deux qu'elle aime.
Est-ce que Tina se voit époustouflée quand la fille indécise se trouve enthousiasmée par le fait d'avoir provoqué un duel? Oui. En effet, une expérience comme ça aurait du lui couper le goût de faire des psychodrames pour résoudre les situations. Éventuellement la fille indécise perd le goût d'être provocation de duel. Heureusement en bon temps. On n'a pas le droit de faire une vraie connerie pour louper un psychodrame pour que l'arrangeur ou l'arrangeuse y perd le goût. En plus la fille indécise ne sait pas qu'elle se trouve juste dans un psychodrame. Par contre, on pourra craindre que cette réussite aura encore encouragé Tina de faire des psychodrames et de devenir pychiatre.
Il y a des gens qui trouvent un plaisir dégoûtant de soumettre les autres - les émotionnellement indécis, les craintifs, les connards, et Dieu sait encore s'il y a des catégories - aux psychodrames.
Pour beaucoup des gens le psychodrame d'être traité en hôpital comme un fou dangéreux pour soi-même ou autrui devient très destructeur. Et malheureusement les psychiatres font beaucoup des choses comme ça aussi. je viens de dire qu'un(e) aide-soignant(e) en première année de la carrière de psychiatrie est encore un être humain. Après dix ans ou vingt ans - si la personne ne cesse pas le travail - il y a les cynismes, les réserves (une-telle est très gentille mais ne fait pas beaucoup, donc n'améliore pas beaucoup les chances et la situation, à l'apparence), la superstition psychiatrique et l'amour d'imposer sa médiocrité à ses patients deviennent tellement prédominants qu'ils sont comme monstres pour leur clientèle.
J'ai vu un homme être tamponné par l'infirmière en chef comme hors contact avec la réalité, parce qu'il affirmait avoir eu un cheval de Lipizza agé de 40 ans. Or, elle savait que les chevaux ça vit pendant 20 ans ou au maximum 30 ans (a-t-elle même dit 25?), alors il affabulait à lui-même. Après j'ai vérifié - les chevaux de Lipizza sont une exception longuève, il y en a vraiment qui vivent jusqu'à 40 ans. Comme dans la théorie, où ils ne veulent pas savoir que leurs patients sachent qqc mieux qu'eux, ainsi dans la morale. Avoir affaire avec une infirmière divorcée et féministe, avec son fils rockeur, ça n'a pas arrangé mes affaires, il me parait.
Ce matin j'étais assis auprès d'un victime de leur médications qui font trembler le corps. Peut-être était-il un connard, mais je ne le sais pas. Peut-être avait-il mérité le prison, mais je ne le sais pas. Ce que je sais, c'est qu'un homme peut mériter le prison et quand même ne pas mériter ça. Ou si javais mal interpreté ses tremblements, s'ils provenaient d'un abus chimique auto-imposé, il était un assez dur cas. C'est si dégradés que ça qu'on peut trouver les victimes de la psychiatrie.
Un petit conseil, chère Teena: deviens pas psychiatre, garde ton charme, s'il te plait!
Hans-Georg Lundahl
Bibl. de Versailles
6 oct. 2010, St Bruno
Le vrai nom de l'auteur est Knud Meister, sous lequel il a écrit les livres avec Jan - ceux avec Teena (en traduction frç: Tina) sont sous le pseudonyme. Probablement pour que le lectorat de ses livres "pour garçons" ne soit pas découragé par le fait qu'il a également écrit des livres "pour filles".
De toute façon, le début était un peu gâché par le gauchisme de Claus Clausen (père de Tina, peintre, mari d'une chimiste). Pire, quand les choses s'embrouillent je découvre que Teena rêve d'être médecin/psychiatre.
J'avoue qu'elle est charmante. J'avoue que certain personnel, même une médecin, au début d'une carrière psychiatrique, peuvent l'être aussi. Grace à ces charmantes personnes au début d'une carrière dans la psychiatrie, j'ai pu intéragir normalement avec quelqu'un les fois que j'ai été obligé contre mon gré et contre toute équité d'y aller comme patient, sans aucun besoin.
J'ajoute, dans ce livre ci, Tina n'est pas encore en train de faire la psychiatre professionnellement, elle le fait spontanément comme amie plutôt que professionnellement. Quand même ça, elle est en train de faire une grave bavure, elle propose un duel (en réalité feint) comme moyen de faire un psychodrame pour qu'une fille indécise se décide entre les deux qu'elle aime.
Est-ce que Tina se voit époustouflée quand la fille indécise se trouve enthousiasmée par le fait d'avoir provoqué un duel? Oui. En effet, une expérience comme ça aurait du lui couper le goût de faire des psychodrames pour résoudre les situations. Éventuellement la fille indécise perd le goût d'être provocation de duel. Heureusement en bon temps. On n'a pas le droit de faire une vraie connerie pour louper un psychodrame pour que l'arrangeur ou l'arrangeuse y perd le goût. En plus la fille indécise ne sait pas qu'elle se trouve juste dans un psychodrame. Par contre, on pourra craindre que cette réussite aura encore encouragé Tina de faire des psychodrames et de devenir pychiatre.
Il y a des gens qui trouvent un plaisir dégoûtant de soumettre les autres - les émotionnellement indécis, les craintifs, les connards, et Dieu sait encore s'il y a des catégories - aux psychodrames.
Pour beaucoup des gens le psychodrame d'être traité en hôpital comme un fou dangéreux pour soi-même ou autrui devient très destructeur. Et malheureusement les psychiatres font beaucoup des choses comme ça aussi. je viens de dire qu'un(e) aide-soignant(e) en première année de la carrière de psychiatrie est encore un être humain. Après dix ans ou vingt ans - si la personne ne cesse pas le travail - il y a les cynismes, les réserves (une-telle est très gentille mais ne fait pas beaucoup, donc n'améliore pas beaucoup les chances et la situation, à l'apparence), la superstition psychiatrique et l'amour d'imposer sa médiocrité à ses patients deviennent tellement prédominants qu'ils sont comme monstres pour leur clientèle.
J'ai vu un homme être tamponné par l'infirmière en chef comme hors contact avec la réalité, parce qu'il affirmait avoir eu un cheval de Lipizza agé de 40 ans. Or, elle savait que les chevaux ça vit pendant 20 ans ou au maximum 30 ans (a-t-elle même dit 25?), alors il affabulait à lui-même. Après j'ai vérifié - les chevaux de Lipizza sont une exception longuève, il y en a vraiment qui vivent jusqu'à 40 ans. Comme dans la théorie, où ils ne veulent pas savoir que leurs patients sachent qqc mieux qu'eux, ainsi dans la morale. Avoir affaire avec une infirmière divorcée et féministe, avec son fils rockeur, ça n'a pas arrangé mes affaires, il me parait.
Ce matin j'étais assis auprès d'un victime de leur médications qui font trembler le corps. Peut-être était-il un connard, mais je ne le sais pas. Peut-être avait-il mérité le prison, mais je ne le sais pas. Ce que je sais, c'est qu'un homme peut mériter le prison et quand même ne pas mériter ça. Ou si javais mal interpreté ses tremblements, s'ils provenaient d'un abus chimique auto-imposé, il était un assez dur cas. C'est si dégradés que ça qu'on peut trouver les victimes de la psychiatrie.
Un petit conseil, chère Teena: deviens pas psychiatre, garde ton charme, s'il te plait!
Hans-Georg Lundahl
Bibl. de Versailles
6 oct. 2010, St Bruno
1 commentaire:
En anglais: a dialogue held on FB, mainly about psychiatry
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