jeudi 6 novembre 2008

La fin de 13*13=169, 169+1=170 ...

... ou le nombre total de chapîtres des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire, par Lemony Snicket.

Je me demande s'il n'ait pas fait le calcul avant de se dire que 13 est censé porter malheur - et ensuite il a raconté une série des malheurs. Heureusement (selon lui-même!) je n'ai pas lu la totalité de l'oeuvre, néanmoins, j'en viens de lire la fin. Volume 13 donc, qui comporte 13 chapîtres et un chapître 14.

Je ne vous présenterai pas toute désastre, ça serait impossible dans le cadre d'une critique, phrase qui veut dire ici: en écrivant si brèvement qu'on fait quand on écrit juste une critique et pas tous les 170 chapîtres. Par contre je ferais quelques réflexions:

1 Quand on souffre quelque chose, on veut souvent arriver au moment où on peut oublier ses souffrances. Mais quand quelqu'un dit à un-même: oubli! - alors, on ne veut plus oublier. On est tellement content d'avoir vécu par quelque chose de dangereux ou déconfortable.

2 Tôt ou tard chaque poison, arme, extorsion, friponnerie, danger, décision, ou autre problème finira par arriver à quelqu'un - au moins si le monde durera pour l'éternité. (Sinon, au moins quelques problèmes n'auront pas eu le temps de trouver des hommes à frapper avant la fin du monde.)

3 Tôt ou tard chaque fripon ou extorsionneur finira par mourir - parfois avant les gens qu'il aura harcelé. Si vous avez lu les désastreuses aventures, vous savez que je parle du ... et si vous ne le savez pas, bon je n'en dis plus.

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