Un Briton s'est exprimé sur la série américaine: scroll down to Family Under Siege by Dr. William Marra.
Il s'y plaint en autre que, entre les situations vraiment cocasses, la télésérie américaine ridicule la fidélité, parfois même la hétéronormité.
Bon, en Love Hina, il y a des situations cocasses. Mais la fidélité n'est pas ridiculisée de tout. Juste au contraire. En tenant réellement une promesse faite quand les deux avaient cinq ans, ils se fond des reproches parce que l'un n'est pas sur que l'autre est la personne puisqu'elle ne s'en souvient pas ou le dénie. De même pour la maîtrise de soi. Je n'ai pas lu tout, mais il me semble que les deux viennent vierges aux noces. Malgré des situations bien cocasses, où la maîtrise de soi est vraiment mise à l'épreuve pour Keitaro. Et où malgré ça il solde gifle après gifle, baffe après baffe de sa flamme très pudique, Naru.
"Tes un obsédé???!!!"
Bon, vu qu'il y a quand même des situations cocasses, la série n'est pas à conseiller en soi (je ne suis pas bien exemplaire), mais si on aime et peut lire ça, vaut mieux lire Love Hina que de régarder une de ces séries dont se plaint à juste titre le feu Dr William A. Marra (dans le audio, si vous avez le flash player requis).
Hans-Georg Lundahl
Mantes, Yvelines
28/I/2011
Il s'y plaint en autre que, entre les situations vraiment cocasses, la télésérie américaine ridicule la fidélité, parfois même la hétéronormité.
Bon, en Love Hina, il y a des situations cocasses. Mais la fidélité n'est pas ridiculisée de tout. Juste au contraire. En tenant réellement une promesse faite quand les deux avaient cinq ans, ils se fond des reproches parce que l'un n'est pas sur que l'autre est la personne puisqu'elle ne s'en souvient pas ou le dénie. De même pour la maîtrise de soi. Je n'ai pas lu tout, mais il me semble que les deux viennent vierges aux noces. Malgré des situations bien cocasses, où la maîtrise de soi est vraiment mise à l'épreuve pour Keitaro. Et où malgré ça il solde gifle après gifle, baffe après baffe de sa flamme très pudique, Naru.
Bon, vu qu'il y a quand même des situations cocasses, la série n'est pas à conseiller en soi (je ne suis pas bien exemplaire), mais si on aime et peut lire ça, vaut mieux lire Love Hina que de régarder une de ces séries dont se plaint à juste titre le feu Dr William A. Marra (dans le audio, si vous avez le flash player requis).
Hans-Georg Lundahl
Mantes, Yvelines
28/I/2011