Préface:
S'il n'y a pas des dieux saints, contre qui alors est-ce coupable de négliger le "seul monde que soit"? (p 23)
Intro:
1 Michel d'Onfray dit que la réligion est plus rejouissant "que d'assister au dévoilement de la cruauté du réel qui contraint à supporter l'évidence tragique du monde" (p 28);
2 puis il taxe la religion du croyant d'"angoisse existentielle personnelle" d'où il faut pas passer "à la gestion du corps et de l'âme d'autrui". Il taxe les prêtres, prêcheurs et c. de "détourner la pulsion de mort qui les travaille sur la totalité du monde" ce que "ne sauve pas le tourmenté et ne change rien à sa misère, mais contamine l'univers." (p29)
Intro:
1 Michel d'Onfray dit que la réligion est plus rejouissant "que d'assister au dévoilement de la cruauté du réel qui contraint à supporter l'évidence tragique du monde" (p 28);
2 puis il taxe la religion du croyant d'"angoisse existentielle personnelle" d'où il faut pas passer "à la gestion du corps et de l'âme d'autrui". Il taxe les prêtres, prêcheurs et c. de "détourner la pulsion de mort qui les travaille sur la totalité du monde" ce que "ne sauve pas le tourmenté et ne change rien à sa misère, mais contamine l'univers." (p29)
[En guise de conclusion (sans avoir lu plus loin):]
La religion, est-elle alors une fable enjolivante ou une pulsion de mort? Est-ce l'ascète ou l'athée qui est angoissé?
Il a mis cette contradiction dans l'espace de deux pages! Quand Wurmbrandt repondit à "la Bible de Moscou" il dut chercher plus longtemps pour la trouver?
[Sur Antimodernism: Envoyé : 22/09/2007 12:55]