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mercredi 28 juin 2023
J'aurais volontier pu lire le livre jusqu'au bout
Robin Hood: Jet-ski, marécage et contrebande (3)
Broché – 2 novembre 2022, de Robert Muchamore (Auteur)
https://www.amazon.fr/Jet-ski-mar%C3%A9cage-contrebande-MARECAGE-CONTREBANDE/dp/2203218231/
Des gens qui me prennent pour un nuisible ou pour quelqu'un "encore à éduquer" m'ont appris, depuis le premier confinément, que mes bagages risquent assez régulièrement d'être fouillés et mes choses en partie d'être volées. Je n'ai pas envie de decevoir la Bibliothèque pour le retour de ce livre, même si 12:90 € n'est pas une fortune.
Donc, je me suis arrêté après d'en lire le début.
J'apprends ici, qu'il y a encore avant ça les tomes 1 et 2 : Hacking, bracage et rébellion ; Piratage, paintball et zèbres ; et après un tôme 4, Drones, barrages et destruction.
Comme certains mots clef indiquent, genre "hacking" ou "paintball" ou "jet-ski" ou "drones" .... l'action ne se situe pas dans l'époque de Henri II ou de son fils Richard Cœur-de-Lion. C'est bien après 1950, at probablement après 2000 aussi - peut-être déjà après 2023.
Il s'agit d'une dystopie. Les technologies sont grosso modo modernes, les sociétés viennent de subir certaines fourberies à plus grande échelle que de nos jours.
Et Robin et Marion sont encore en tome 3 deux adolescents, et Marion prétend vouloir vomir quand Diogo les taquine de "fiancés" ou parce qu'il parle de leurs futurs triplets.
L'antinatalisme et le dégoût des jeunes mariages, trucs en train de détruire l'Occident comme aussi la Russie, sont donc encore en train d'attarder les mariages et de limiter les naissances, des indigènes. Notons, Guy Gisborne n'est pas le shérif de Nottingham, juste un mafieux associé à celle-ci - une Marjorie (donc anglaise) d'un nom de famille balkanique (donc marié à un homme issue de l'immigration). Ni l'un, ni l'autre de ces ultrafourbes (qui ont mi un adolescent artificiellement immaturisé par l'éducation moderne sur une liste de prix) est vraiment immigré. Et selon mes expériences, quand les immigrés se sont mêlés d'une mauvaise manière dans ma vie, ceux que je vois ont l'air d'être des sous-fifres. En partie, leur chefs pourraient se trouver en Arabie Séoudite, mais surtout, il y a des Européens à une culture trop nordique et trop clodophobe.
Entretemps, les cachettes du couple sont bien choisies. Robin est en train d'apprendre des trucs sur les barres quand on le voit en chapitre 5. Les chapitres 1 à 4 parlent d'une tentative échoué de le capturer. Un homme en meurt - par les guêpes. Marion semble en train de trier des médicaments pour aider un hôpital sans des ressources adéquates. Son petit frère était déguisé en Robin Hood, mais comme il n'a que 10 ans, le capturer est sans intérêt.
Hans Georg Lundahl
Paris
Veille de Sts Pierre et Paul
28.VI.2023
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lundi 10 octobre 2022
À Partir de quand, l'imaginaire se paganise-t-il?
Facile. On a Percy Jackson, par Rick Riordan et Harry Potter. Un peu moins direct, mais quand même, Tolkien et C. S. Lewis.
Donc, malgré le fait d'être (ou selon certain complotistes de paraître commme) des Chrétiens, J. R. R. Tolkien et Lewis auraient préparé le chemin pour J. K. Rowling et Rick Riordan. Ils seraient coupables (ou à louer) pour la préférence païenne de gens trop spirituels pour être Athées, trop sceptiques pour être Chrétiens, trop peu disciplinés pour être Bouddhistes ou Musulmans.
Attendez ... Wonder Woman met en scène les dieux grecs depuis 1941. C'est le psychologue William Moulton Marston qui la créa.
Jack Kirby, Stan Lee, et Larry Lieber créent Thor en 1962.
Et si Captain Marvel et Mary Marvel ont leurs pouvoirs des divinités ... mélangées, en grand partie grecques ... ceci commence en 1939, avec l'écrivain Bill Parker et le dessinateur C. C. Beck.
Kenneth Grahame dans Le Vent dans les saules en 1908 et le curé anglican Henry S. Whitehead en 1929 en la novelette The People of Pan (sans traduction française) avaient mis en scène la divinité Pan.
Pour le paganisme irlandais, on avait déjà William Butler Yeats - qui avait paganisé l'imaginaire du jeune C. S. Lewis, avant la conversion de celui-ci au Christianisme. Yeats a aussi aidé à traduire des Oupanichades en anglais.
Pour un certain regard sur le paganisme grec, on avait déjà Shelley.
Non, que le paganisme comme élément de l'imaginaire de Tolkien et Lewis soit bon ou mauvais, il n'est pas à l'origine de l'imaginaire paganisé. Il est utilisé, par les deux, transformé en imaginaire, sinon primairement chrétien, au moins christianisé, et pour des buts de christianiser l'imaginaire.
J'avais hier le plaisir de lire un Wonder Woman où Arès s'était déguisé en Athéna ... et l'occasion de connaître cette histoire de William Moulton Marston. En connaissant les dates, je savais pertinnamment que les œuvres comme Seigneur des Anneaux ou Narnia étaient de plus tard. En connaissant les média, je sais aussi que, jusque dans ma jeunesse, des gens lisent davantage Wonder Woman que Narnia ou SdA.
Pour combattre l'apostasie au paganisme, vaudrait mieux reviser le côté intellectuel - le neglect de la philosophie chrétienne classique et du créationnisme scientifique.
Et non pas pointer le doigt aux Inklings.
Hans Georg Lundahl
Paris
St. François Borgia
10.X.2022
30.IX Romae natalis sancti Francisci Borgiae, Sacerdotis et Confessoris; qui Praepositus Generalis fuit Societatis Jesu, ac vitae asperitate, orationis dono, abdicatis saeculi et recusatis Ecclesiae dignitatibus, vir memorabilis exstitit. Ipsius autem festum sexto Idus Octobris celebratur.
10.X Sancti Francisci Borgiae, Sacerdotis e Societate Jesu et Confessoris, cujus dies natalis pridie Kalendas Octobris recensetur.
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mercredi 15 mai 2019
Le Club des Métamorphes : Le Chapiteau des Ombres
Avant la fin de l'article je vais dévoiler un élément clef de l'intrigue. Ce qu'on appelle un "spoiler warning" est donc dû ici-même. Si vous n'avez pas encore lu le livre et vous voulez garder les surprises, s v p attendre avant de lire cette critique.
À différence de Persée et de Jason, à partir de la réception dès le début des œuvres, les trois livres par Camille Brissot sur les Métamorphes ne prétend pas être histoire. Inutile donc de reconstituer en quel circonstances un jeune homme pourrait avoir l'impression de se transformer en araignée de manière que d'autres aient aussi l'impression qu'il s'y serait transformé en araignée, ou une jeune demoiselle en guêpe, même qualification.
Les récits merveilleux ici-même sont là pour divertir et pour la raison toute sèche, cette intention explique à abondance le merveilleux dans ces livres, dont j'ai par hasard lu tome 2.
Il faut donc prendre "la magie" comme présentée par l'auteure, et se demander quel univers moral ça donne.
Or, il y a un élément qui ne dépend pas de la magie. Les héros, donc aussi l'auteure, ont un dégoût profond pour le harcèlement à la cour de récrée ou à la sortie de l'école. Ce qui est évidemment un point de santé moral. J'aimerais savoir à quand elle va prendre partie contre l'obligation scolaire. Eh oui, cette obligation qui rend cet harcèlement possible. Sans laquelle obligation, un bon établissement pourrait expulser un harceleur, et d'un mauvais un harcelé pourrait se tirer sans grand besoin d'explications hormis à ses parents.
L'amitié est genre du Club des Cinq - j'imagine que le titre générique de la trilogie fait référence au Club de Cinq. Par malheur, il y a obstacle à quoi traduire ce titre en "Famous Metamorphs" puisque ces gens semblent pour ça un peu trop dédiés à l'idée de la discrétion.
Dans le fantasy, l'élément merveilleux peut être expliqué de manières différentes. Par exemple, le fait que certaines choses arrivent à Susan Pevensie chez ma fan fiction, je l'explique par le fait que, comme la marraine de l'Oncle Andrew et comme celui qui le lui explique, elle a du sang de fées dans les veines - mais alors justement, il me faut une certaine explication pourquoi il y a des elfes, ou des fées et celle de Tolkien (une première création anthropomorphe pré-adamique) ne convient pas à ma théologie et donc pas à ma fiction non plus. Donc, quelle est l'explication qu'il y ait des métamorphes chez Camille Brissot?
Un trait hérité, présumé innée. Comme pour madame Misma Mesmer et les autres spirites - mot appris la veille, je présume qu'en anglais c'est "spiritist" ou "médium" ou "spiritist médium".
L'idée est donc que la "magie est naturelle". Un peu comme en Harry Potter. J'ai eu le privilège d'écouter l'auteure cet après-midi, et elle a grandi avec Harry Potter, ayant le même âge que lui quand livre un sort. Donc, le monde de Rowling est familier à Brissot.
Par malheur, cette idée est aussi présente en vie réelle, et de manière que des sorciers et sorcières se défendent de compacte avec le démon par l'idée que les pouvoirs seraient un don innée, donc connaturel à leur humanité. Encore, le fait de mettre cette idée dans un livre divertissant n'est pas vraiment suffisant pour séduire sauf que les plus séduisibles à cette idée erronée.
Par contre, un élément clef du dénouement est que telle personne n'ayant pas le pouvoir de se transformer en bête a quand même le pouvoir de forcer des métamorphes adolescents d'activer cette transformation, voir même de les empêcher d'en sortir. Il est mis dehors sa maison par les parents qui vivent comme une trahison cette menace à leur discrétion. Et le fait de priver d'autres enfants que sa sœur de la discrétion normalement souhaitée par ces métamorphes est encadré comme du kidnapping et comme une revanche à la tradition des métamorphes dans leur manière d'inculquer la discrétion à leurs enfants.
Si je voudrais un quatrième Club des Métamorphes, j'aimerais donc un livre avec un M:o bienfaisant. Quelqu'un chez qui la privation de discrétion va dans le bon sens, et ceci non pas dans un sens trop psychologisant.
Hans Georg Lundahl
Paris XIX
St. Jean-Baptiste de la Salle
15.V.2019
PS : Pour titre en anglais, pourquoi pas "Obscure Metamorphs"?/HGL
PPS : non, mieux : "Mysterious Metamorphs"./HGL
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samedi 15 mai 2010
Livre à éviter: Qumrân (Éliette Abécassis)
Elle fait de la mauvaise philologie. J'ai donné la critique là-dessus sur le blog Philologica.
http://o-x.fr/4ms4 est le lien bref pour accéder à ce message.
http://o-x.fr/4ms4 est le lien bref pour accéder à ce message.
Henri IV - Ravaillac - Richelieu (R. I. P.)
Il ne convient pas à un chrétien de maudir quelqu'un après sa mort.
Prions donc pour les trois.
Après, constaton, qu'au lendemain ou presque du meurtre d'Henri IV par Ravaillac, on voit un conseilleur de roi surgir de l'obscurité jusqu'à la réussite extrème: Richelieu. Hanté par l'horreur - selon l'étude fait par Hilaire Belloc (soldat français et écrivain anglais) - d'un second Ravaillac, il se met au boulot pour faire que cela devienne impossible. En effet, le prochain roi français connu comme tué (on laisse à côté les spéculations sur l'Homme dans la Masque de Fer) ne le fut pas par un solitaire, mais par un parlement, juste comme Charles I. Mais là, on est déjà sous Mazarin.
(Ça rappelle un peu comme Laban, se voulant un bon et responsable père pour Lia et Rachel, leur a causé une rivalité, un péché d'orgueil de Rachel qui provoca la stérilité pendant longtemps comme châtiment divin, par là aussi possiblement des accouchements trop tardifs et trop dures, dont la deuxième l'acheva: faire le mal pour être responsable devient facilement une piège pour les bonnes intentions.)
Je viens de citer le fait sur un autre blog que son modèle pour refaire la France en plus sécuritaire fut l'Angleterre à l'époque tellement totalitaire: Henri VIII, Edward VI (pour qui regnèrent une junte des nobles réformés, il était petiot), Marie I, Élisabeth I, Jacques I d'Angleterre et en même temps Jacques VI d'Écosse (aussi élevé par une junte des nobles réformés qui avaient trahi sa mère à sa cousine Élisabeth). Celui qui prétendant "le droit divin des rois" contestait le droit du Pape à délier les Anglais de leur loyauté envers l'usurpatrice Élisabeth: il est entré en debât théologique avec St Robert Bellarmin là-dessus. Et que la Bastille eut son emploi malfamé grace à ses décisions - ce qui coûta très cher à un si noble roi que fut Louis XVI, abolisseur des lettres de cachet.
Si Belloc a raison, tout ça parce que Richelieu avait horreur de revoir un Ravaillac. Son livre est donc à lire: Richelieu.
Mais Louis XIII était bien plus heureux que Louis XVII, Ravaillac fit moins mal que la Révolution. Celle-ci n'ayant une âme, et dont les perpétreurs principales sont morts dehors l'église, pour ça on ne prie pas. Mais pour Henri IV, Ravaillac, même Richelieu. Je cite Belloc de memoire, en traduisant:
Prions, et pour les trois: Henri IV, Ravaillac, Richelieu. Dona eis Dñe requiem æternam, lux perpetua luceat eis, requiescant in pace. Amen.
Hans-Georg Lundahl
Paris XI, Parmentier
15/V/2010, lendemain
du mémoire du meurtre
d'Henri IV
Prions donc pour les trois.
Après, constaton, qu'au lendemain ou presque du meurtre d'Henri IV par Ravaillac, on voit un conseilleur de roi surgir de l'obscurité jusqu'à la réussite extrème: Richelieu. Hanté par l'horreur - selon l'étude fait par Hilaire Belloc (soldat français et écrivain anglais) - d'un second Ravaillac, il se met au boulot pour faire que cela devienne impossible. En effet, le prochain roi français connu comme tué (on laisse à côté les spéculations sur l'Homme dans la Masque de Fer) ne le fut pas par un solitaire, mais par un parlement, juste comme Charles I. Mais là, on est déjà sous Mazarin.
(Ça rappelle un peu comme Laban, se voulant un bon et responsable père pour Lia et Rachel, leur a causé une rivalité, un péché d'orgueil de Rachel qui provoca la stérilité pendant longtemps comme châtiment divin, par là aussi possiblement des accouchements trop tardifs et trop dures, dont la deuxième l'acheva: faire le mal pour être responsable devient facilement une piège pour les bonnes intentions.)
Je viens de citer le fait sur un autre blog que son modèle pour refaire la France en plus sécuritaire fut l'Angleterre à l'époque tellement totalitaire: Henri VIII, Edward VI (pour qui regnèrent une junte des nobles réformés, il était petiot), Marie I, Élisabeth I, Jacques I d'Angleterre et en même temps Jacques VI d'Écosse (aussi élevé par une junte des nobles réformés qui avaient trahi sa mère à sa cousine Élisabeth). Celui qui prétendant "le droit divin des rois" contestait le droit du Pape à délier les Anglais de leur loyauté envers l'usurpatrice Élisabeth: il est entré en debât théologique avec St Robert Bellarmin là-dessus. Et que la Bastille eut son emploi malfamé grace à ses décisions - ce qui coûta très cher à un si noble roi que fut Louis XVI, abolisseur des lettres de cachet.
Si Belloc a raison, tout ça parce que Richelieu avait horreur de revoir un Ravaillac. Son livre est donc à lire: Richelieu.
Mais Louis XIII était bien plus heureux que Louis XVII, Ravaillac fit moins mal que la Révolution. Celle-ci n'ayant une âme, et dont les perpétreurs principales sont morts dehors l'église, pour ça on ne prie pas. Mais pour Henri IV, Ravaillac, même Richelieu. Je cite Belloc de memoire, en traduisant:
[Le pape] disait une de ces choses qui sont [...?...] vues comme preuves de cynisme: S'il n'y a pas de Dieu, il a eu une vie réussie. On omet généralement de citer la suite: S'il y en a, il a beaucoup de quoi rendre raison.
Prions, et pour les trois: Henri IV, Ravaillac, Richelieu. Dona eis Dñe requiem æternam, lux perpetua luceat eis, requiescant in pace. Amen.
Hans-Georg Lundahl
Paris XI, Parmentier
15/V/2010, lendemain
du mémoire du meurtre
d'Henri IV
mercredi 19 novembre 2008
Qqs annotations au manuel d'athéologie par Onfray
Ce message / Cette page fait partie de la série création vs évolutionnisme, clicquer ici pour voir les autres
La religion, est-elle alors une fable enjolivante ou une pulsion de mort? Est-ce l'ascète ou l'athée qui est angoissé?
Il a mis cette contradiction dans l'espace de deux pages! Quand Wurmbrandt repondit à "la Bible de Moscou" il dut chercher plus longtemps pour la trouver?
Préface:
S'il n'y a pas des dieux saints, contre qui alors est-ce coupable de négliger le "seul monde que soit"? (p 23)
Intro:
1 Michel d'Onfray dit que la réligion est plus rejouissant "que d'assister au dévoilement de la cruauté du réel qui contraint à supporter l'évidence tragique du monde" (p 28);
2 puis il taxe la religion du croyant d'"angoisse existentielle personnelle" d'où il faut pas passer "à la gestion du corps et de l'âme d'autrui". Il taxe les prêtres, prêcheurs et c. de "détourner la pulsion de mort qui les travaille sur la totalité du monde" ce que "ne sauve pas le tourmenté et ne change rien à sa misère, mais contamine l'univers." (p29)
Intro:
1 Michel d'Onfray dit que la réligion est plus rejouissant "que d'assister au dévoilement de la cruauté du réel qui contraint à supporter l'évidence tragique du monde" (p 28);
2 puis il taxe la religion du croyant d'"angoisse existentielle personnelle" d'où il faut pas passer "à la gestion du corps et de l'âme d'autrui". Il taxe les prêtres, prêcheurs et c. de "détourner la pulsion de mort qui les travaille sur la totalité du monde" ce que "ne sauve pas le tourmenté et ne change rien à sa misère, mais contamine l'univers." (p29)
[En guise de conclusion (sans avoir lu plus loin):]
La religion, est-elle alors une fable enjolivante ou une pulsion de mort? Est-ce l'ascète ou l'athée qui est angoissé?
Il a mis cette contradiction dans l'espace de deux pages! Quand Wurmbrandt repondit à "la Bible de Moscou" il dut chercher plus longtemps pour la trouver?
[Sur Antimodernism: Envoyé : 22/09/2007 12:55]
jeudi 16 octobre 2008
Deux biographies sacerdotales ...
Pasqualina Lehnert: Ich durfte ihn dienen
P. Bryan Houghton: Unwanted Priest (wikipedia manque tout l'article en anglais)/Prêtre rejeté
Eugenio Pacelli, depuis sa nonciature en Allemagne jusqu'à son decès comme Pape Pie XII fut servi par Soeur Pasqualina Lehnert. Au sujet controversiel de sa silence à propos les persécution des Juifs par les Nazis, elle nous donne ça: il avait lu que les évêques hollandais avaient protesté, et Hitler avait réagi en ordonnnant une déportation de 20.000 Juifs. Il avait conclu que s'il protestait lui-même, il en déporterait au moins 100.000, puis il déchira la protestation déjà écrite.
P. Bryan Houghton: Unwanted Priest (wikipedia manque tout l'article en anglais)/Prêtre rejeté
La vie d'un Bryan (oui, c'est une autobiographie) qui pouvait "always look on the bright side of life", et qui n'avait rien de blasphème, tout au contraire. Ses parrains dans la conversion catholique, à Paris, après une période athée et communiste, furent Jacques et Raïssa Maritain, si bien je m'en souviens. Il devint prêtre, il démissiona de sa paroisse à cause de la réforme liturgique, il écrivit des choses pertinentes contre le darwinisme et les dérives du collégialisme, y compris la dureté et l'impiété de la réforme liturgique comme alors appliquée. Si la rédemption liée comme elle est à la croix, n'est pas apte pour de la comique, la providence, par contre montre que le bon Dieu a de l'humour, selon ce bon prêtre.
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